Division Firmes et Économie Industrielle
Durée du projet: 24 mois
Date de démarrage: 02 Novembre 2017
Agrément par le C.S: 15.07.2017
Chef de projet : Benhassine Wassim
Membres de l’équipe :
Djema Hassiba
Kefif Mohamed Benaouda
Hammoudi Abdelhakim
Zerouti Messaoud
Briki Amel
Boukadoum Nadjwa
Bouhadba Med Yacine
Boutouis Manel
Djedar Sihem
Résumé
L’objectif premier de ce projet de recherche est d’étudier les questions liées à la concurrence et à la régulation dans différents secteurs stratégiques en Algérie : le secteur bancaire, le secteur électrique, le secteur des télécommunications, le secteur de l’agroalimentaire. Qu’il s’agisse d’un réseau filaire, d’un réseau d’agence ou d’un réseau de distribution, ces secteurs ont d’abord pour caractéristique commune la dimension « réseau ». Par ailleurs, ces secteurs ont tous été marqué par une forte intervention de l’Etat et par un processus de libéralisation ou d’ouverture du marché qui a connu plus ou moins de succès selon les cas. En effet, malgré les tentatives d’introduire plus de concurrence sur ces marchés, les entreprises publiques restent fortement dominante dans au moins trois de ces secteurs. Nous traiterons donc différents aspects de la régulation dans ces secteurs : la politique tarifaire (électricité), la mesure de la performance (électricité, banque), la définition du marché pertinent (téléphonie) ou encore la régulation sanitaire et l’organisation des réseaux de distribution (agroalimentaire).Nous nous intéresserons à la fois à la concurrence sur les marché et à leur régulation. De ce fait, notre démarche s’inscrira dans le cadre de la nouvelle économie industrielle.
La contribution sera principalement d’ordre empirique avec l’analyse de la performance des secteurs bancaire et électrique ou encore la définition du marché pertinent dans le secteur des télécommunications, mais également d’ordre théorique à travers une modélisation par la théorie des jeux de la définition des normes sanitaires dans le secteur agroalimentaire et des incitations à leur respect. Nous consacrons également une grande partie de la recherche au cas de l’Algérie